Il était une fois, au bord de la rivière de Montcuq, une petite mouche qui se pavanait avec délice. Cet endroit lui convenait parfaitement, car elle pouvait se prélasser des heures durant à humer les parfums délicieux des fesses humaines et à se désaltérer des fluides les plus éclectiques que notre cher corps expulse chaque jour par ses voies basses.